La location d' un scooter pour conduire dans Bali est assez simple. De nombreux loueurs sont disposés dans presque tous les coins de l’île.
Que vous soyez à Canggu, Seminyak, Sanur ou Ubud, vous n’aurez aucun mal à trouver un scooter à louer sur l’île des Dieux. Il suffit de suivre les panneaux où est écrit “motorbike for rent”.
Votre hôtel, guesthouse ou autre propriétaire de votre logement peut sans doute vous aider à trouver votre scooter. Presque tous les locaux ont quelqu’un de leur entourage qui fait de la location de scooter à Bali.
En moyenne, on vous demandera autour de 700-800K (45€) par mois pour la location, ou autour de 50-70K par jour (4€) pour les scooters basiques.
Cette question peut paraître désuète, mais est en réalité très importante pour la suite.
La plupart des scooters à louer de Bali sont des 125cm³ ou des 150cm³. Il n’y a pas vraiment de scooters disponibles à la location sous 110cm³.
Si vous avez conduit des scooters de 50cm³ dans votre pays d’origine, l’expérience risque d’être un peu différente. Un scooter de 125cm³ reste relativement puissant et dangereux dans les mains d’un débutant. On ne compte plus ceux qui se sont laissés surprendre lors de leur première mise en main et se sont envoyés dans le décor !
Certains blogueurs de voyage et autres nomades se permettent de raconter des idioties notoires ou d’inciter à des actes illégaux qui pourraient vous causer des problèmes. En réalité, la situation des permis pour conduire un scooter à Bali est assez simple.
Deux cas de figure s’offrent à vous. Toutes les autres situations sont illégales et vous exposent à davantage de problèmes si vous avez un souci durant la conduite de votre scooter (accident, contrôle etc…).
A noter, la plupart des loueurs se fichent complètement de votre permis de conduire : ils ne sont ni policiers, ni assureurs.
Ne pas avoir le bon permis est donc votre problème et les responsabilités en cas de pépin sont les vôtres également.
Si vous avez un permis de conduire vous autorisant à conduire une moto ou un scooter d’au moins 125cm³, alors vous pouvez faire un permis international et l'utiliser à Bali.
Pour les français les plus âgés, le permis de voiture peut même avoir le précieux tampon, et donc le permis international aussi. Pour les plus jeunes, il faudra un permis moto séparé.
Le permis de conduire local est l’autre sésame pour conduire légalement à Bali. On l’appelle SIM C et il permet de conduire des 2 roues jusqu’à 250cm³.
Ce permis est accessible à tous les résidents indonésiens, c’est à dire :
Maintenant que vous savez les conditions légales pour la location et la conduite de scooters à Bali, voici les règles du code de la route officielles comme officieuses à respecter si vous souhaitez rentrer chez vous en un seul morceau.
La conduite balinaise fait en effet l’objet de nombreux fantasmes qui mettent clairement les étrangers (et en conséquences les usagers qui se trouvent autour d'eux) en danger. Le plus fréquent, c’est qu’on peut tout faire sur les routes, ce qui révèle une incompréhension profonde du style de conduite local et vous expose à des dangers inutiles.
Disons-le clairement, non vous ne pouvez pas tout faire lorsque vous conduisez un scooter à Bali.
A Bali, on conduit à gauche. Donc on s’insert par la gauche, on double à droite, on attaque un rond point par la gauche et on doit traverser la route pour tourner à droite.
Le sens de circulation est globalement respecté, sauf quand il ne l’est pas. Mais ceux qui roulent à contresens le font généralement très prudemment, très doucement, et dans des zones où ça n’est pas dangereux et/ou où c’est toléré.
Un scooter ne prenant pas de place, c’est assez facile de se coller à droite et de rouler à contresens sans que ça soit un danger énorme. Mais voir des gens en scooter à contresens lors de votre premier jour de location de scooter à Bali, surtout sur les axes principaux, ça fait toujours quelque chose lorsqu’on n’y est pas habitué.
Cette règle est la plus importante de toute la conduite de scooters (et de voitures) à Bali : vous n’êtes responsable QUE de ce qui se passe devant vous.
Plusieurs conséquences à cela, qui sont souvent mal comprises par les étrangers qui louent des scooters et conduisent à Bali pour la première fois :
Bref, ces règles sont davantage celles qu’on observe au ski que celles que l’on a dans notre code de la route.
Les principes de sécurité sont cependant exactement les mêmes : il faut faire très attention en doublant, il faut garder ses distances et anticiper ce que la personne devant va faire. Vous ne devez RIEN attendre du ou des véhicules devant vous.
Lorsque vous avez compris ce principe de base, la location de scooter à Bali est déjà beaucoup, beaucoup plus sûre !
L’autre conseil qu’on donne régulièrement aux conducteurs débutants, et qui est un bon conseil, est d’aller dans le sens du courant. Un balinais vous dira sûrement “just go with the flow”.
Les routes de Bali peuvent être embouteillées à certaines heures. Vous avez assez vite l’impression de vous retrouver dans un peloton du tour de France avec deux scooters sur votre gauche et un autre sur votre droite.
Imaginez que vous êtes un poisson dans un banc de poisson, suivez le mouvement et anticipez les moments où vous allez tourner pour vous rapprocher petit à petit de votre objectif.
Ce n’est pas beaucoup plus compliqué que ça. Les problèmes arrivent souvent quand vous ne suivez pas le courant, ou que vous essayez de conduire avec vos règles et non les règles officieuses locales.
La courtoisie, les sourires et la bonne humeur qui règnent à Bali ne se limitent pas aux bons moments de la vie. C’est en réalité un signe de politesse plus qu’autre chose.
Personne n’aime être coincé dans un bouchon, de manquer de se faire renverser ou d’avoir une personne de devant qui ne met pas ses clignotants.
Il faut cependant garder son calme en toute situation. Sourire peut vous emmener loin à Bali, et c’est contagieux. Alors faites comme tout le monde et prenez les choses du bon côté, même quand tout va mal.
Les road rages à Bali sont très rares et se limitent souvent aux vrais accidents. Tout le monde passe au-dessus des petites incivilités et des imprudences sans conséquences, et vous allez devoir faire de même.
Les routes de Bali sont dangereuses, quoi qu’on vous dise. Elles sont surtout très dangereuses pour des personnes qui s’y aventurent après quelques jours de location de scooter sans l’expérience de la conduite “à la locale”.
Chaque route a bien sûr ses propres dangers en fonction de sa localisation, sa fréquentation ou encore la vitesse à laquelle on peut rouler dessus.
Voici néanmoins les dangers principaux qui causent le plus d’accidents.
L’insertion est quelque chose de sportif, voire parfois suicidaire, dans la conduite à Bali. Lorsque les gens s’insèrent à gauche, qu’ils soient en scooter ou en voiture, peu regardent attentivement.
Certains regardent à la va vite, vous voient, mais s’insèrent quand même, avec l’espoir que vous allez vous arrêter. Que vous soyez à 300m ou à 20m importe peu. Que vous soyez à 20km/h ou à 90km/h non plus.
Vous vous souvenez de ces règles du ski dont on parlait plus haut ? Vous y êtes, c’est à vous de vous arrêter. Et si la personne tente une insertion suicide à 20m de vous alors que vous arrivez pleine balle, c’est votre problème, et vous serez le responsable de l’accident si le freinage ne passe pas.
Si vous n’avez jamais conduit à Bali, c’est très simple : partez du principe que quelqu’un qui attend sur la voie de gauche (ou qui y arrive) va s’insérer. Parce que c’est sûrement ce qu’il va se passer.
Éviter d’être trop proche du trottoir de gauche peut aussi éviter de trop vous faire surprendre. Klaxonner pour lui dire que vous allez passer peut aussi marcher, mais pas toujours. Mieux vaut partir du principe qu’il va s’insérer plutôt que de penser que votre klaxon va le dissuader.
Les hôpitaux sont plein de fous du guidon klaxonneurs qui ont échoué.
Les différences de vitesse énormes entre les usagers des routes balinaises ne se vérifient pas partout. Dans les zones embouteillées, c’est même très homogène, évidemment.
Mais sur les gros axes de Bali, toutes les vitesses peuvent se retrouver au même endroit, ce qui donne lieu à des situations extrêmement dangereuses.
Typiquement, les camions surchargés qui vont du Nord au Sud de Bali ou vers Java peuvent parfois rouler à 20km/h lorsque des voitures et scooters arrivent dessus ou les doublent à presque 100km/h.
Sur les routes concernées, les coups de freins peuvent être violents, et même avec les bonnes distances de sécurité en roulant à une vitesse raisonnable, le danger reste important surtout si vous conduisez un scooter à Bali depuis peu.
Les distances de sécurité lorsqu’on conduit un scooter ou une voiture à Bali font presque partie d’un rêve.
Les grands axes sont particulièrement dangereux à cet égard. Il n’est pas rare de voir des files de 5 ou 10 voitures rouler à 70km/h à moins de 20cm l’une de l’autre. Bien sûr, quand ça freine, patatrac.
Les scooters font également la même chose. Je me rappelle d’un freinage d’urgence sur la bypass de Sanur où nous avions freiné à temps (merci la distance), mais où tous les scooters derrière nous avaient fini au sol et/ou dans les fossés faute d’avoir le temps de freiner.
Tous les accidents que j’ai vus en live étaient dus à des distances de sécurité trop courtes.
Vous seriez surpris du nombre d’accidents qui se produisent à cause des animaux à Bali.
Les chats sont sans doute les pires en la matière et traversent toujours de manière complètement erratique. Sûrement un lien avec leur projet de domination mondiale.
Les chiens sont généralement plus habitués et font attention, notamment ceux qui vivent au bord des grands axes. Mais le nombre de cadavres de chiens sur les routes rappelle à tout le monde que tous les chiens ne font pas toujours attention. Taper un chien en scooter est l’assurance d’un bon accident.
On parle moins des vaches, mais elles peuvent aussi poser certains problèmes, surtout la nuit. Une vache, c’est gros. Si vous rentrez dedans en scooter à pleine bourre, vous aurez sans doute plus mal que la vache.
Les humains qui traversent en partant du principe que vous allez vous arrêter, ou pire, sans regarder, font aussi partie des dangers si vous souhaitez rester en vie sur votre scooter à Bali.
L’alcoolémie au volant n’est pas contrôlée à Bali, et certains en abusent complètement. Le danger est très important dans certaines villes comme Canggu où beaucoup d’étrangers font louent des scooters et boivent en même temps. Sans surprise, ce n'est pas une bonne idée, et une grande partie finit à l'hôpital.
La plupart des étrangers qui se tuent en scooter à Bali étaient alcoolisés. Ne pas boire au guidon est un impératif. Ne pas croiser le chemin de ceux qui le font est également très souhaitable.
Si vous conduisez à Canggu de nuit, partez du principe que les gens sont bourrés et vont faire n’importe quoi, c’est plus prudent.
Tous les pays et villes ont leurs fous du volant. Il faut l’avouer, malgré les règles écrites comme officieuses, ils restent assez nombreux à Bali. Surtout, le niveau de folie peut parfois être choquant, allant contre toute logique de survie élémentaire.
Même si vous faites tout comme il faut, vous pouvez donc toujours tomber sur une personne qui n’a pas le courant à tous les étages et avoir un accident. Bali est l’île des Dieux, et l’Indonésie est très religieuse. Beaucoup pensent simplement que leur(s) dieu(x) les protège(nt) sur la route. Quand on voit l’anarchie de certaines routes et les doses de prises de risque par rapport au nombre d’accidents (finalement assez faibles), on est effectivement en droit de se demander.
Conduire un scooter à Bali est clairement une plongée dans la culture indonésienne. Mais avant de vous lancer dans la location d'un scooter à Bali, mieux vaut connaître les risques en cas d’accident.
En préambule, on ne va pas se mentir, les accidents de scooter sont très fréquents à Bali. Demandez à des locaux qui n’a jamais eu d’accident de scooter de sa vie et vous n’en trouverez pas beaucoup.
Ce qu’il faut garder en tête, c’est que de nombreuses routes étant embouteillées, beaucoup d’accidents de scooter se font à vitesse réduite à Bali. Donc dans certaines zones, assez peu d’accidents sont mortels par rapport à la fréquence des accidents.
En revanche, sur les grands axes où la vitesse est plus élevée et où de nombreux véhicules de tous types se croisent (camions, voitures, scooters), les accidents mortels sont beaucoup plus fréquents.
Même à vitesse relativement faible (<30km/h), un accident de scooter peut avoir des conséquences très lourdes voire être mortel. Mieux vaut le garder à l’esprit.
En cas d’accident de scooter à Bali, la situation risque d’être très confuse, surtout si vous êtes étranger.
Il n’y a pas de services d’urgence comme les pompiers ou le samu pour vous emmener à l’hôpital.
Il est possible qu’on vous mette dans une ambulance privée, qu’il faudra payer immédiatement. C’est aussi possible qu’on vous mette dans un taxi. Généralement, la personne qui emmène l’accidenté se retrouve à payer ses frais d’hôpital, donc n’espérez pas trop que la personne qui vous a renversé vous y emmène voire s'arrête.
La seule garantie que vous avez en ayant un accident de scooter à Bali, c’est que la situation va être compliquée et qu’il ne vaut mieux que votre cas ne soit pas grave ou urgent.
Avoir des gens sur place à contacter en cas d’urgence est d’ailleurs une bonne idée.
Un point important avant de conduire un scooter à Bali, c’est qu’un étranger impliqué dans un accident aura probablement toujours tort.
Par défaut, un étranger est considéré plus aisé financièrement, et disons le franchement, plus ignare de la conduite locale. C’est donc assez facile de lui faire porter le chapeau et de lui faire mettre la main au portefeuille en cas d’accident, même quand ce n'est pas vraiment de sa faute.
Mais ce principe du faible contre le fort s’applique aussi en fonction du véhicule, même entre locaux. Une voiture a par exemple toujours tort comparé à un scooter.
Vous êtes toujours motivé pour conduire un scooter à Bali ? Voici quelques conseils avant de vous lancer.
A Rome, faites comme les romains. A Bali, faites comme les balinais.
Si tout le monde fait quelque chose qui vous semble être une singerie absolue, c’est que c’est OK de le faire.
Si vous êtes le seul à faire quelque chose et qu’on vous regarde bizarrement, c’est sans doute que vous avez enfreint quelque chose.
L’une des meilleures choses que vous puissiez faire pour comprendre comment conduire un scooter à Bali, c’est de monter derrière un local ou un expatrié pendant quelques jours avant de louer votre propre scooter. Je déconseille fortement de faire une location de scooter à Bali avant d'avoir expérimenté en tant que passager la conduite à la locale.
Vous ne prenez ainsi (presque) aucun risque et vous pouvez apprendre sans être trop figé sur la conduite. Ça vous permet aussi accessoirement de repérer les lieux. Si vous ne connaissez pas de locaux, prenez un taxi-moto sur Gojek.
Conduire un scooter à Bali est très fatigant au début. Et conduire un scooter à Bali lorsqu’on est fatigué démultiplie les risques d’accidents.
Si vous conduisez un scooter à Bali pour la première fois, tenez-vous-en aux alentours de chez vous et ne vous aventurez pas sur les grands axes avant d’avoir acquis une certaine expérience.
Se viander tout seul à 30km/h en allant à la plage, c’est dommage et ça peut vous ruiner vos vacances. Se viander à 70km/h et passer sous un camion parce que vous avez voulu traverser Bali en scooter, c’est une autre paire de manches.
Le bitume n’est pas moins dur à Bali qu’ailleurs. Le casque en scooter à Bali, c’est tout le temps. Et sur la tête.
Les cheveux aux vents sur un scooter à Bali, c’est très romantique, mais c’est aussi très stupide. Dans le match bitume vs crâne, le bitume gagne toujours.
De toute façon, c'est une des rares choses que la police contrôle systématiquement à Bali. Si vous vous aventurez en scooter sans casque sur une route moyenne ou un grand axe, vous allez vous faire arrêter sans l’ombre d’un doute. Pour votre bien, d’ailleurs.
Les risques d’accidents lorsque vous conduisez un scooter à Bali sont bien réels. Surtout pendant les premiers mois où vous n’avez pas engrangé l’expérience nécessaire pour tout comprendre, et lorsque vous prenez un peu la confiance sur votre bécane.
De nombreuses personnes se retrouvent dans des situations dramatiques à Bali suite à des accidents de scooter sans assurance. Je ne compte plus les campagnes GoFundMe, les situations de vie ou de mort où on attend un virement de la grand-mère pour opérer…bref, des cas pas très enviables.
L’assurance voyage ou expatriés n’est pas un luxe à Bali. Aucun soin, même d’urgence, ne sera fait sur vous tant que l’hôpital n’est pas sûr à 100% qu’il va recevoir les fonds.
A.U.C.U.N. Le fait que votre vie en dépende ne change pas la donne.
Une bonne assurance, qu’elle soit de voyage si vous n’êtes à Bali que de passage, ou pour expatriés si vous comptez vous installer, c’est ABSOLUMENT INDISPENSABLE dès que vous montez sur un scooter à Bali.
Ce n’est pas de la dramaturgie. Tous ceux qui vivent à Bali depuis un certain temps connaissent des accidentés graves. Certains ont été rapatriés de justesse grâce à leur assurance, d’autres ont pu être traités sur place à temps et survivre, et d’autres sont morts pendant que la famille tentait de récolter des fonds.
Le coût d'une assurance est simplement dérisoire par rapport au coût d'une hospitalisation. Demandez un devis gratuit à Mondassur, un courtier spécialisé en assurances voyages et expatriés, pour recevoir les offres adaptées à vos besoins et vous verrez rapidement qu'on ne parle pas des mêmes montants que les frais d'une hospitalisation.
Allianz Travel est également une plateforme qui peut vous être utile si vous cherchez une assurance voyage pour Bali.
A lire aussi : Assurance voyage pour Bali : est-ce obligatoire ?
La location de scooter à Bali est une expérience en tant que telle et fait partie du voyage sur l'île des Dieux. Conduire un scooter à Bali fait complètement partie de la vie locale balinaise, et même indonésienne.
Toutefois, conduire un scooter à Bali ne doit pas se faire la fleur au fusil. Les règles, même non écrites, sont à respecter comme partout ailleurs si vous souhaitez conduire autant en sécurité que possible.
Les dangers de la conduite de scooter à Bali restent importants et doivent inciter à la prudence absolue, surtout si vous êtes étranger.
Apprendre à conduire un scooter comme un local, connaître les risques et toujours être couvert par une bonne assurance sont des impératifs absolus si vous ne voulez pas rentrer chez vous les pieds devant.
Que cela soit pour le premier jour d’arrivée à Bali ou le dernier jour des vacances, séjourner proche de l’aéroport de Denpasar est souvent une excellente idée.
Bonne nouvelle, il y a beaucoup d’options de zones sympas proches de l’aéroport, et encore plus d’hôtels sympas dans chacune de ces zones.
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